Georges Banu[1] « Au théâtre comme en poésie, on y entre par effraction. On y arrive brutalement pour qu’ensuite, tout d’un coup, on se demande : « Mais où était la porte ? » Wajdi Mouawad Aucun auteur n’aime être
Un théâtre sous haute tension

Georges Banu[1] « Au théâtre comme en poésie, on y entre par effraction. On y arrive brutalement pour qu’ensuite, tout d’un coup, on se demande : « Mais où était la porte ? » Wajdi Mouawad Aucun auteur n’aime être
Tanya Déry-Obin* La question de l’application des théories postcoloniales à la littérature québécoise repose sur un malaise, sinon un malentendu, sur l’histoire coloniale du Québec. La littérature québécoise reste en effet marginale au sein des études francophones et postcoloniales. Si
Alvina Ruprecht* Depuis quatre ans, Jean-Michel Martial, acteur, metteur en scène guadeloupéen et directeur artistique de la Compagnie L’Autre Souffle, travaille sur le Théâtre Caraïbe, le Répertoire, un vaste projet devenu entreprise collective, où les membres de la Compagnie L’Autre
Entretien avec Dieudonné Niangouna, artiste associé du Festival d’Avignon 2013. Propos recueillis par Irène Sadowska-Guillon[1] Rescapé de la guerre et de la mort, Dieudonné Niangouna, acteur, auteur, metteur en scène congolais, fondateur et directeur du Festival International de Théâtre Mantsina
Irène Sadowska-Guillon* Le post rajouté au colonialisme signifie-t-il sa disparition définitive ? Ne se régénère-t-il pas aujourd’hui dans des formes plus soft, « culturelles », notamment celle de la communauté linguistique et, pour ce qui concerne la France, dans ce